Un soir de novembre 1910, Monsieur et Madame Seurel, qui dirigent une paisible école de Ia campagne solognote, reçoivent un pensionnaire que sa mère accompagne, Augustin Meaulnes. Le prestige naturel de ce grand adoIescent lui vaut d'être bientôt connu de tous Ies éIèves comme "le Grand MeauInes". Partageant la même chambre, Ie nouveau venu et François SeureI, fils des directeurs, se Iient d'amitié, Augustin exerçant sur Ie sensibIe François une véritable fascination. |